Un contraste d’abord. Une couverture blanche, pâle, des couleurs presque passées. Un intérieur avec des couleurs parfois chaudes presque à l’oppose de ce que promettait la couverture.
A
Une première des maisons tordues, une atmosphère très fortes.
Des personnages ciselés (un dessin qui n’est d’ailleurs pas très loin d’Ibicus de Rabaté).
Un personnage énigmatique. Est il tendre, est il cynique ? Une femme. Innocente.
Une histoire sombre. Un héritage et un monstre en cavale et des convoitises.
On retiendra le talent de deux auteurs qui autour d’une histoire « classique » réussisse à imposer une identité forte, une atmosphère rare.
On retiendra également le carnet d’esquisse superbe à l’encre de chine (pinceau et plume je crois).
Par contre la page de pub en dernière page c’est bof. Je ne connais pas cette maison d’édition (un bon point pour l’album, un mauvais pour la pub moche).
Une fin. Et pourtant on lit « Les carnets de Georg Weiss ». Pourvu que ça recommence.
A écouter en accompagnement :
Christian Kjellvander Words in the wires. Pour l’atmosphère inquiétante des premiers accords et la nostalgie douce. (ça s’écoute ici).
C'est de Clod (à qui on doit aussi ceci que j'aime beaucoup) et Frébourg chez petit à petit.
A
Une première des maisons tordues, une atmosphère très fortes.
Des personnages ciselés (un dessin qui n’est d’ailleurs pas très loin d’Ibicus de Rabaté).
Un personnage énigmatique. Est il tendre, est il cynique ? Une femme. Innocente.
Une histoire sombre. Un héritage et un monstre en cavale et des convoitises.
On retiendra le talent de deux auteurs qui autour d’une histoire « classique » réussisse à imposer une identité forte, une atmosphère rare.
On retiendra également le carnet d’esquisse superbe à l’encre de chine (pinceau et plume je crois).
Par contre la page de pub en dernière page c’est bof. Je ne connais pas cette maison d’édition (un bon point pour l’album, un mauvais pour la pub moche).
Une fin. Et pourtant on lit « Les carnets de Georg Weiss ». Pourvu que ça recommence.
A écouter en accompagnement :
Christian Kjellvander Words in the wires. Pour l’atmosphère inquiétante des premiers accords et la nostalgie douce. (ça s’écoute ici).
C'est de Clod (à qui on doit aussi ceci que j'aime beaucoup) et Frébourg chez petit à petit.
Comme toujours ça s'achète dans pleins de supers petites librairies ou là.
2 commentaires:
Bonjour, on est pas très loin de l'univers de tim Burton.
Bravo pour le nom du blog...
HP n'est pas uniquement un nom d'ordinateur!
Tim Burton? oui bien vu en moins festif peut être. Mais bien dans la mélancolie de Mr Jack
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